Neuroharmonie neurofeedback bien-être aller mieux entrainement cérébral relaxation stress burn out dépression tdh troubles de l’humeur : hyper-émotivité, anxiété, ruminations, manque de confiance en soi, état dépressif,. troubles comportement : irritabilité, impulsivité, hyperactivité, peurs, compulsions, troubles alimentaires, accoutumances, difficultés relationnelles... troubles physiologiques : troubles du sommeil, migraines, fatigue chronique, épilepsie, acouphènes, vertiges, tremblements, douleurs chroniques, désordres digestifs... troubles cognitifs : déficit d’attention et de concentration, dyslexie, dyscalculie, dyspraxie, dysphasie, troubles de la mémoire et de l'apprentissage, suites d’un AVC, d'un traumatisme crânien ou psychique...
Entraînez-vous au bien-être

Témoignages
Voici quelques témoignages en vidéo : toujours intéressant d'entendre l'expérience d'autres personnes qui ont essayé le neurofeedback dynamique
Stéphane Tourreau, vice champion du monde d'apnée
Edith Jolivet, présidente de l'association "un zèbre à Vitré"
Alexandra Jouan, médecin victime d'un traumatisme crânien
Témoignages multiples
Témoignages multiples
Perrine Jeangirard, praticienne en NFB, explique aux enfants
Vous en trouverez plein d'autres sur internet !
Ou encore, des témoignages de professionnels de santé
"La littérature scientifique […] suggère que le neurofeedback devrait jouer un rôle majeur dans de nombreux domaines difficiles. A mon avis, si n'importe quel médicament avait fait la preuve d'une efficacité aussi étendue, il serait universellement accepté et largement utilisé… C'est un domaine à prendre au sérieux par tous."
Frank H. Duffy, Neurologue, Professeur à l'Ecole de Médecine de Harvard,
Directeur du département d'imagerie cérébrale de l'hôpital pour enfants de Boston
"En 38 ans de pratique, je n'ai jamais vu aucun traitement qui parvienne à produire les résultats obtenus par le neurofeedback… J'ai vu des résultats atteints en quelques jours ou quelques semaines qui prenaient auparavant des mois ou des années en utilisant les meilleures techniques disponibles."
Jack Woodward, Psychiatre
"Pour les maladies chroniques telles que l'épilepsie, la dépression, l'hyperactivité, les troubles de l'alimentation, les blessures au cerveau et autres maux, c'est-à-dire le type de maladies contre lesquelles la médecine conventionnelle n'excelle guère, le neurofeedback est sous maints aspects plus utile que les médicaments, avec beaucoup moins d'effets secondaires."
Jamie Deckoff-Jones, Médecin
"Ces dernières années, de nombreux professionnels de la médecine ont écrit des livres rapportant les bénéfices du biofeedback face à différents troubles. En outre, de nombreux psychiatres et neurologues ont intégré le neurofeedback dans leur pratique. Malgré cela, les médecins et les professionnels de la santé encouragent rarement à poursuivre des séances de neurofeedback. Leur scepticisme provient de leur manque d'information, d'expérience et d'expertise en neurofeedback, plutôt que d'un problème d'efficacité de celui-ci."
Barry Belt, Psychologue
"Dans l'ensemble, les résultats [de la recherche pour le traitement d'enfants atteints du trouble du déficit de l'attention et hyperactivité - TDA/H préconisent l'utilisation de traitements multimodaux comprenant des médicaments, une assistance psychologique des parents/de l'école, et le neurofeedback pour le contrôle à long terme du TDA/H. Le neurofeedback en particulier fournit un effet durable même en l'absence de traitement médicamenteux stimulant… Les parents intéressés par un traitement qui ne soit ni médicamenteux ni psychologique peuvent poursuivre l'utilisation de thérapies complémentaires et alternatives. La thérapie la plus prometteuse selon les essais cliniques récents se révèle être celle du neurofeedback."
Katie Campbell Daley, Docteur à l'hôpital pour enfants de Boston et à l'Ecole Médicale de Harvard
"Le neurofeedback répond aux critères de l'Académie Américaine de Psychiatrie des Enfants et des Adolescents comme recommandation clinique pour le traitement du trouble du déficit de l'attention et hyperactivité (TDA/H), de l'épilepsie, de l'anxiété (Trouble Obsessionnel Compulsif - TOC, Syndrome de Stress Post-Traumatique, phobies), de la dépression, des difficultés de lecture, et de la dépendance à l'alcool ou aux drogues. Cela suggère que le neurofeedback devrait toujours être envisagé par les cliniciens comme méthode d'intervention pour ces troubles."
Les rédacteurs de la revue Child and Adolescent Psychiatric Clinics of North America
"Nous avons réalisé des études décisives indiquant en fin de compte que le neurofeedback fonctionne de façon importante. Le neurofeedback est encore considéré comme une médecine alternative, mais certaines personnes refusent totalement la médecine conventionnelle. Un très grand nombre de gens a vraiment hâte d'utiliser cette méthode."
Eran Zaidel, Professeur de neuroscience comportementale et cognitive à l'Institut de Recherche sur le Cerveau de l'Université de Los Angeles